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ALMARIE

HISTORIQUE ORGANISATIONNELLE DE BTDC

BrainTrsut for Developmet and Culture (BTDC)est association régie par la loi N°90/053 du19 Décembre1990 portant sur la liberté d’association au Cameroun, et régulièrement enregistrée sous le N°0001234/RDA/J06/BAPP du 28 Novembre 2006.
C’est en Février 2008, après ce qu’on a appelé les émeutes de la faim au Cameroun, qu’il fait partie de ces 48 organisations de jeunes qui sont reçus aux services du premier Ministre à Yaoundé.En Août de la même année, il parvient à obtenir une rencontre entre les jeunes et les experts du Centre des Nations Unies pour la Démocratie et les droits de l’homme en Afrique Centrale (CNUDH-AC), pour une journée d’information sur le maintien de la paix.
A la suite des rapports dès 2009, il est invité par la Commission National des Droits de l’Homme et Libertés (CNDHL) pour participer à un Séminaire de renforcement de capacités sur les droits de l’Homme et par la suite jusqu’à ce jour, à d’autres types de manifestations organisée par la Commission.
Elle participera à la création du Réseau Camerounais des Organisations des droits de l’Homme(RECODH), en tant que membre de la plateforme CNUDH-AC et les Organisations de la Société civile Camerounaise, il participe mensuellement aux rencontres de ladite plateforme où il prend part à toutes les séances de renforcement des capacités initié par le Centre ; Echange mensuellement sur les questions d’actualités en matière des droits de l’homme au Cameroun.
Depuis 2013, elle s’est focalisée sur le problème de surpopulation carcéral, c’est ainsi qu’il a initié le projet de Volontariat en Médiation Judiciaire. Projet dans lequel elle travaille en collaboration avec le Ministère de Justice afin de transformer son avant proposition de loi, en projet de loi portant Création, organisation et fonctionnement de la Médiation Judiciaire au Cameroun. La recherche de la légitimation de la Médiation judiciaire a pour objet d’augmenter indubitablement la compréhension de ce processus par les autorités judiciaires, les professions parallèles, et l’ensemble des populations afin qu’elles s’approprient le fonctionnement et l’encrage de cet outil rapide, moins couteux et efficace. Ainsi, cet avant proposition de loi instaure, sous réserve de certaines exceptions propres aux législateurs, la mise en œuvre des règles destinées à permettre la désignation ou le choix d’un médiateur, à favoriser les arrangements amiables entre les parties,parce que les solutions transactionnelles sont plus durables et subséquemment plus économiques du fait qu’elles peuvent tenir compte d’éléments propres à la libre décision. Il est à noter que cet avant proposition de loi a été déposé auprès des Membres du gouvernement à l’occasion de la journée Internationale de la Jeunesse 2015
Au courant de l’année 2014, dans le but de définir de nouveaux modèles de renforcement des capacités matérielles, humaines et financières de la Commission Nationale des Droits de l’Homme et Libertés, pour lui permettre de couvrir l’ensemble du territoire nationale, en vue du renforcement de la promotion des droits civils et politiques de tous les citoyens, elle a soumis une demande de partenariat à la Commission, et cette activité s’est tenue le 23 Septembre 2015, animée par les experts du Ministère de l’Economie et de la Planification du Territoire, ceux du Ministère des Relations Extérieures et ceux du Fonds National de l’Emploi, et financée par la commission, les échanges ont d’avantage aiguisé les principales motivations fondant la détermination quant à la mobilisation d’un plus grand nombres de ressources pour son renforcement.
Depuis Août 2015, dans le cadre de la mise en œuvre du volontariat en médiation judiciaire, en partenariat avec les tribunaux compétents de la Région du centre, suite à une visite d’étude du problème de surpopulation carcérale, elle procède à un inventaire des détenus ayant des défauts de résultats d’audiences au niveau de la prison centrale de KONDENGUI