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POLITIQUE PENALE ANTI CRIMINELLE

  • PLAIDOYER SUR L'OPTIMISATION DE LA MAIN D’ŒUVRE CARCÉRALE ET LA RESOCIALISATION DE CETTE COUCHE DEFAVORISEE

    Au moment ou la rareté des moyens se fait de plus en plus ressentir, si même les citoyens qui sont en liberté peinent à se prendre en charge, à plus forte raison ceux qui dépendent entièrement des budgets alloués par les pouvoir publics, (qui allouent la ration alimentaire des personnes placées en détention à 225 frs par jour,dire alors manger une seule fois par jour) .
    Il a été révélé que la majorité des cas portant sur le récidivisme trouve majoritairement son alimentation sur le désespoir qu’ont certains citoyens sur leur avenir généré par l’oisiveté et le manque de qualification professionnelle, certains soutiennent qu’à l’intérieur de la prison, ils s’y plaisent parce qu’en ce lieu, ils sont à l’abri de beaucoup de charges sociales, notamment : le payement de loyer, des factures d’eau et d’électricité, de ration alimentaire.
    Les contraintes budgétaires qui pèsent sur l’administration en général, le chiffres sans cesse galopant des personnes incarcérées au jour le jour, génèrent une insuffisance des moyens dont le nombre évolue de plus en plus et ce sur le long terme.Comment gérer la majorité des charges relatives aux préoccupations et besoins concernant la couverture des besoins des personnes privées de liberté, pour leur éviter les retours multiples en détention
    Pour ce faire, Brain Trust for Development and Culture, organise dans la salle de conférence du bâtiment C, de la Commission Nationale des Droits de l’Homme et Libertés, un plaidoyer le 30Mars 2017dès 9H, et dont l'objectif général est de fournir à l’administration pénitentiaire d’éventuelles pistes palpables, visant à la démonstration de l’optimisation de la main d œuvre pénale et de resocialisation de cette couche défavorisée, afin de répondre avec pertinence à la gestion de la majorité des charges relatives aux préoccupations et besoins concernant la couverture des besoins des personnes privées de liberté et faciliter la réinsertion sociale des détenus, pour leur éviter les retours multiples en détention.

  • APPEL A PRIVATISATION DES PRISONS

    La personne humaine et le milieu y occupent une position centrale pour le développement et l'exploitation de la prison.

    L'aménagement du régime carcéral, garantissant des conditions de vie plus humaines et plus sûres, influence de manière passive et positive la sécurité en diminuant le comportement agressif des détenus.

    Ce système implique que tant le projet que la construction, le financement et l'entretien soient sous-traités à un partenaire privé. Il s'agit de concevoir de manière intégrée et de collaborer dès le début.

    Le partenaire privé assure donc les frais de construction  et le financement du projet avant de mettre le bâtiment à la disposition de l'état contre le paiement d'une indemnité de disponibilité pendant une période déterminée

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    , . A la fin du contrat, la prison est rétrocédée gratuitement à l’État

  • APPEL A RATIFICATION DU TRAITE SUR LE COMMERCE DES ARMES

    APPEL A RATIFICATION DU TRAITE SUR LE COMMERCE DES ARMES
    droit international relatif aux droits de l’Homme et au droit international humanitaire,
    ATT-knotted-gun 28.04.12_0.jpghier , 31 Mai 2016, était la date limite de soumission des rapports, et le Cameroun était absent.
    Le Président de la République s’est engagé à poursuivre et vaincre la chose terroriste parce que les inconvénients sont nombreux. Il a d’autant affirmer cela par une détermination pour mettre un terme aux actions et agissements des mouvements terroristes.
    Car, il n’est pas important d’attendre que des millions de personnes soient enterrées, blessées, violées pour les femmes, ou déplacées pour des centaines de familles, traumatisées pour les enfants, ceci suite aux conséquences directes et indirectes du commerce irresponsable des armes
    Il y a de cela plus d’un an ( 24 décembre 2014) que le premier traité international sur le commerce des armes est devenu réalité, n’ayant pas encore ratifié ce dernier, le Cameroun, ne peut prétendre a bénéficier aux mesures juridiquement contraignantes y relatif.
    Selon les règles en vigueur du traité international sur le commerce des armes, avant toute vente d’armes, le gouvernement du pays fournisseur doit évaluer les risques liés à ce transfert, au regard de critères bien précis, notamment pour déterminer si ces armes sont susceptibles d’être utilisées de manière abusive pour perpétrer des violations des droits humains ou des crimes de guerre. S’il y a un risque sérieux, la transaction ne pourra pas être autorisée par le pays fournisseur.
    Il est important de mentionner que si la nébuleuse BOKO HARAM a pu causer environs 6 644 décès d’innocentes personnes en 2015, cela est du en partie au non contrôle de la circulation des armes et munitions.
    Selon des estimations, les pertes de l’Afrique suite aux violences armées, équivaudraient au montant total de laide au développement, dire alors qu’il n’est pas important de recevoir cet aide, si tant il est vrai que la vente incontrôlée des armes et munitions viendrai encore tout faire perdre
    Au moment ou vient de se tenir une rencontre visant a attirer les investisseurs étrangers au Cameroun, l’une des garanties que voudrait avoir un investisseur, c’est la sécurité. Il devient alors impérieux de se pencher sur la ratification de ce traite dans le but de démontrer aux investisseurs que leurs fonds seront sécurisés par une évaluation et un contrôle rigoureux de l’usage de toutes ses exportations d’armement.
    Quelques extraits des articles six et sept du TCA:
    article 6(9) qui précise leurs engagements « de ne pas autoriser le transfert d’armes classiques qui violerait leurs obligations internationales, résultant des accords internationaux pertinents auxquels il est partie » ainsi que « s’il a connaissance, au moment où l’autorisation est demandée, que ces armes ou ces biens pourraient servir à commettre un génocide, des crimes contre l’humanité, des violations graves des Conventions de Genève de 1949, des attaques dirigées contre des civils ou des biens de caractère civil et protégés comme tels, ou d’autres crimes de guerre tels que définis par des accords internationaux auxquels il est partie ».
     
    Ensuite avec son article 7(10), sur le risque d’utilisation des armes, notamment lorsqu’elles pourraient entrainer : « une grave violation des droits de l’Homme ou une grave violation du droit international humanitaire », ou si elles « contribueraient ou porteraient atteinte à la paix et à la sécurité » ou « commettre un acte constitutif d’infraction au regard des conventions et protocoles internationaux relatifs au terrorisme auxquels l’État exportateur est Partie, ou à en faciliter la commission » ou encore « commettre un acte constitutif d’infraction au regard des conventions et protocoles internationaux relatifs à la criminalité transnationale organisée auxquels l’État exportateur est Partie, ou à en faciliter la commission ».
    Le Cameroun doit ratifier ce Traité pour faire face à la prolifération des groupes armés non étatiques. Car, des registres nationaux de contrôle seront déposés auprès des Nations-Unies pour permettre d’assurer un véritable contrôle de la circulation des armes.
    Honorables Membres du parlement Camerounais, convaincus de votre sagesse et votre maturité, au moment ou vous entamez la session parlementaire du Mois de Juin, nous vous exhortons à vous pencher sur cette ratification, afin de prévenir les abus des droits humains et protéger les moyens d’existence des populations pour que le droit à la vie soit une réalité au Cameroun.
    Nous Membre de Brain Trust for Development and Culture, vous prions d’agréer, honorables parlementaires, nos plus respectueuses et républicaines salutations.