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jeunesse et politiques publiques

  • CONCERTATION ENTRE LE CONSEIL NATIONAL DE LA JEUNESSE DU CAMEROUN ET LES COMMUNESET COMMUNAUTES URBAINES

    concertation.JPGCONCERTATION ENTRE LE CONSEIL NATIONAL DE LA JEUNESSE DU CAMEROUN ET LES COMMUNESET COMMUNAUTES URBAINES

    En parcourant les trois lois du 22 juillet 2004 portant sur la décentralisation , l’une sur l’orientation de la décentralisation (N°2004/017) les deux autres fixant respectivement les règles applicables aux communes et communautés urbaines , il est précisé qe les communes constituent la collectivités territoriales décentralisées de base ayant une mission générale de développement local et d’amélioration du cadre des conditions de vies des habitants

    Dans les articles 15 à 22 et 110 fixant les compétences transférées aux communes , il apparaît en ce qui concernent  la jeunesse que seul la distraction est transférée aux communes ( la promotion et animation des activités sportives de la jeunesse ; appui aux associations sportives ; la création et la gestion des stades municipaux , les centres et parcours sportifs ,piscines aires de jeux et arènes ; recensement et participation à l’équipement des associations sportives ; participation à l’organisation des compétition )

    Pourtant un peu plus tôt , dans la circulaire N°3366/LC/MINATD/SG du 10 juin 1992 relative à l’emploi des jeunes ,l’emploi des jeunes est une réponse aux préoccupations sociales et économiques , même si cette dernière ne demande aux communes prévoir dans leur budget une dotation spéciale pour l’emploi des jeunes pendant les vacances scolaires. Dans celle-ci il est question des domaines ci-après : la voirie municipale ; l’hygiène et salubrité ; la réfection des salles de classes, le bâtiment ; l’assainissement des égouts les emplois de bureaux y compris éventuellement ceux habituellement réservés aux cadres. Reconnaissant que procurer des emplois aux jeunes participent à la fois de la justice sociale, de la politique d’encadrement de cette frange de population sensible, vulnérable et fragile et de la volonté de voir poursuivre sur le terrain , en vue de leur insertion éventuelle dans les circuits de production , de la formation professionnelle dispensée aux jeunes dans les écoles .

    Dans l’article 37 alinéas 12 de la loi N° 2004/018 du 22 juillet 2004 le citoyen bénéficient d’un droit à l’information et à la consultation des documents administratifs communaux. Ceci lui offre la possibilité de suivre les débats relatifs aux grands de la commune et d’d’exercer le contrôle politique de l’activité communal. en son article 18 de la même  loi il est précisé que  les collectivités territoriales peuvent s’associer avec les organisation de la société civile sous forme contractuelle pour la réalisation des objectifs ou des projets d’utilités publiques.

    Dans le but traduire en acte le souci d’une société jeune organisée, le 10 Février 2005, le Président de la république prescrivait la mise en place du Conseil National de la Jeunesse du  Cameroun  avec démembrement jusqu’aux communes, ayant  aboutis aux installations de ses premiers dirigeants depuis  Février 2010. Au vue de ce qui précède, il est justifié qu’à l’aune des multiples compétences transférées dans le cadre de cette loi, les seules dévolues aux jeunes ne sauraient être que celles relatives à la distraction.

    OBJECTIF GLOBAL

    Préciser le rôle et la contribution que le conseil national de la jeunesse du Cameroun , dans toute sa diversité peut jouer en tant que canal institutionnel dans les organes des communes et communautés urbaines

    OBJECTIFS SPECIFIQUES

    Réfléchir sur les moyens de promouvoir une plus grande participation du Conseil National de la  jeunesse aux projets communaux

    Négocier l’intégration formelle de ses représentants aux séances de conseils communaux

    Définir et préciser  les axes de compétences incombant à leurs attentes et leur vision du monde avenir

    Accorder une attention particulière aux défis de la croissance et de l’emploi

    Intéressé les jeunes à leur rôle et leur place dans le développement local

    RESULTATS ATTENDUS

    Intégration des conseils communaux dans les organes des communes et communautés urbaines

    Transfert d’autres compétences aux jeunes

    Renforcement considérable des relations entre les communes et communautés urbaines et les Conseil National de la jeunesse du Cameroun 

    Implication actives des jeunes à la réalisation des projets communaux

    PROBLEMATIQUE

    Si la volonté de participer et de contribuer est souvent la plus évidente, elle bute cependant à l’absence d’un lien étroit et permanent  entre  les dirigeants et les jeunes . Ce qui peut constituer un obstacle majeur à la participation active des jeunes au développement local

    METHODOLOGIE

    Basé sur l’approche interactive, les conseils communaux de la jeunesse organisent une concertation avec les dirigeants des institutions concernées

    Les représentants des institutions informées à l’avance feront des exposés

    Des travaux en atelier tiendront lieu de séance de réflexion sur les différents thèmes à l’ordre du jour avec pour aboutissement, des recommandations.

    En fonction des compétences transférées aux communes et communautés urbaines, il sera question d’étudier qu’elles sont celles qui peuvent être reversées aux jeunes

     

  • NOS CHANTIERS

    Institution d’expression démocratique, l’assemblée nationale, constituée des représentants du peuples (députés) élus lors des élections législatives, est le lieu par excellence ou se mettent en place toutes les lois concourant à l’épanouissement des populations et au développement de la nation.
    Plate forme nationale de concertation, d’expression et d’action des associations, organisations et mouvements de jeunesse du Cameroun, le conseil national de la jeunesse a pour but de promouvoir l’épanouissement et l’expression des jeunes au Cameroun par un rôle consultatif, proactif et représentatif auprès des institutions nationales et internationales.
    Toujours habités par la volonté de tenir à leurs promesses, ces élus n’ont qu’un seul souhait, remplir les missions qui sont les leurs c'est-à-dire améliorer leur environnement.
    Au contact avec plusieurs personnes, ils sont pour la plupart du temps embarrassés par les problèmes qu’ils devraient considérer comme prioritaires. Ceci dû au fait que, toute personne les abordant trouve comme problèmes prioritaires ceux qui lui sont propres. Le développement se mesurant à l’aune de l’implication participative basée sur une large consultation et un large consensus. Il parait nécessaire d’exploiter les possibilités de construire des liens permanents entre les députés et les citoyens. ceci étant , il paraît opportun de voir dans quelles mesures les missions dévolues à chacune de ces institutions peuvent être accomplies.

  • MINISTERE DE LA JEUNESSE, L’HEURE EST AU BILAN

    INSTITUTIONS  : MINISTERE DE LA JEUNESSE, L’HEURE EST AU BILAN

    Conférence annuelle des services centraux et déconcentrés du ministère de la jeunesse ,les travaux ouvert le 4 septembre dernier au palais des congrès de YAOUNDE a permis aux participants venus de toutes régions du Cameroun de mettre la jeunesse au Centre des préoccupations du ministère.

    Des travaux qui ont réunis les différentes délégations venus des 4 coins du pays avait pour objectif de plancher sur les différentes aspectes des problèmes rencontrés par ce ministère nouvellement créer et certainement en quête de maturité. Ces travaux de deux jours ont permis de passer en revue tous les difficultés rencontrées par le ministère dans sa recherche de performance .Il était question de chercher les voies et les moyens pour encadrer la jeunesse de manière accrue  , de faire une sorte d’auto critique sur des méthodes de travail du MINJEUN et surtout de passer en revue l’ensemble des réalisations par rapport au missions et à la feuille de route adressée au ministère par le premier ministre chef du gouvernement PHILEMON YANG .

    Pour le ministre ADOUM GAROUA, président de séance .Il s’est agit ni plus ni moins de la mise en place du conseil Nationale de la jeunesse ,qui est à sa phase d’opérationnalisation et de passer en revue aussi du problème lié à la gestion des ressources humaines ou la meilleure répartition du personnel dans les coins les plus reculés du pays se pose avec beaucoup d’acuité ,pour preuve ,de nombreuses délégations restent en manque de personnel dans les coins reculés ; Normale, il s’agit de se rapprocher des cibles , de rapprocher l’ administration des administrés devant bénéficier des services du MINJEUN et ce qui n’est donc pas le cas . Les problèmes ont été les mêmes que ce soit dans la région de l’Est ,du Nord Ouest ou encore du NORD dont les plus saillants sont l’absence des moyens roulants , de la réhabilitation des locaux abritant les délégations en passant par le manque de matériels didactiques et de bureaux ,sans oublier l’épineux problèmes de la sécurité dans les différentes délégations régionales et départementales encore très exposées au vol .

    Par ailleurs , la mise en place du conseil national de la jeunesse aura retenue les attentions Une inquietude évoquée par le délégué régional de la jeunesse du centre qui a exprimé sa crainte sur le retard accusé dans le processus de mise en œuvre du conseil national de la jeunesse . S’agissant du conseil nationale de la jeunesse tout semble piétiner ,depuis 2006 que le processus a été engagé dont des fonds gigantesques sont disponibles et un processus soutenu par les bailleurs de fonds ,l’on se demande les raisons d’un telle laxisme . .Jusqu’ici le code électoral est méconnu par les jeunes et les cadres mêmes du ministère de la jeunesse ..En tout état de cause ,le ministre de la jeunesse a réaffirme son engagement à mettre en place ce conseil qui est à sa phase terminal de l’avis du patron du MINJEUN,une descente sur le terrain est donc prévu pour la supervision des élections au niveau communale ,départemental ,régional et national ,une première fois que le ministère accompagne les jeunes dans une organisation qui sera reconnue par les pouvoirs publics ,les partenaires au développement et les pays voisins. A ce niveau de nombreuses organisations de la jeunesse et les leaders d’associations se disent inquiets sur la transparence du processus de mise en place du conseil national de la jeunesse .le Ministre ADOUM GAROUA annoncé sa satisfaction sur l’évolution et la mise sur pied cette fois du service civique de participation au développement , un autre processus qui est sur la bonne voie puisque les textes d’applications sont déjà transmis à la haute hiérarchie

    Fort de tous ce constat, un chapelet de recommandations été dressé, les participants à la conférence ont demandé entre autre , l’accélération du processus de création des organisations de la jeunesse ,de la descente urgente sur le terrain des cadres du MINJEUN sur le terrain pour la sensibilisation des jeunes au conseil national de la jeunesse ,à l’allocation d’une ligne budgétaire pour les organisations de jeunesse et la multiplication des centre s de loisirs .Des doléances que le ministre de la jeunesse s’est dit très attentionné et qui ne resteront pas dans les tiroirs poussiéreux du ministère .Des commissions seront donc constituées pour plancher sur ces questions .

    Les travaux du 3 au 4 septembre 2009 se sont achevés tardivement avec deux lettres de motions mérités, au ministre de la Jeunesse ADOUM GAROUA pour son dévouement à la cause de la jeunesse et au président de la république du Cameroun  son excellence PAUL BIYApour son soutien financier à l’encadrement des jeunes .

    L’on espère que les recommandations de cette conférence annuelle ne seront pas des vains mots et surtout comme la reconnu le Ministre de la jeunesse ADOUM GAROUA , et tout le monde l’aura compris ,les jeunes ne sont pas des problèmes ,mais des solutions au problèmes .L’année 2010 s’annonce donc sous des bonnes auspices au Ministère de la Jeunesse ,le maçon sera jugé au pied du mur.