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LANCEMENT DU VOLONTARIAT EN MEDIATION JUDICIAIRE AU CAMEROUN

 

RAPPORT DE LA CEREMONIE DE LANCEMENT DU

VOLONTARIAT EN MEDIATION JUDICIAIRE AU CAMEROUN

Thème Médiation scolaire comme

Date 1Avril 2015

Lieu : Collège Frantz Fanon – Yaoundé 

Heure : 11Heures

Orateur :       M. Jean Marie ALIMA

Encadreurs : M. ESSOMBA Thomas,  Principal 

M. NGABA Ghislain, Conseiller Pédagogique

M. BINAM Tobie, Surveillant Général

Classe : Terminale A 4espagnol

 

Ordre du jour : Mot de Bienvenue

Présentation du Volontariat en Médiation Judiciaire,scolaire et familiale

Questions-réponses

Divers

 

Mot de Bienvenue

Prenant la parole en premier au Nom du Principal, Monsieur NGABA Ghislain surveillant Général, a souhaité la bienvenue à l’équipe de Brain Trust For Development and Culture  conduite par Jean Marie ALIMA  Président de ladite association.Par la suite, il a demandé aux élèves d’être attentif à l’entretien qui devait suivre, car cela leur était bénéfique pour leur vie quotidienne, il a préciséque cette séance n’était pas un cours normal par conséquent ils pouvaient être  détendus, il a précisé que ces derniers pouvaient poser toutes les questions qui leur viendraient à l’esprit lors de la séance de questions-réponses, pourvu que celles-ci cadrent avec la thématique du jour.

Présentation du Volontariat en Médiation Judiciaire

A son tour, Monsieur Jean Marie ALIMA, après les formalités d’usage, est passé directement sur le vif du sujet à savoir la présentation générale du projet en commençant par la justification, la définition des termes tels que la médiation et le volontariat, les objectifs, les résultats attendus du projet, les types de médiation, puis en fonction du type de couche , il s’est étendu  en profondeur sur la Médiation Scolaire et la Médiation Familiale tout en précisant les rôles qu’ils sont appelés jouer pour la promotion de l’amiable en tout lieu où ils pourront se trouver .

QUESTION- REPONSES

Suite au développement fait, la partie réservée aux questions-réponses prendront d’abord la tournure des droits réservés aux jeunes, notamment les droits se rapportant à leurs choix, à leur  liberté et épanouissement. La question touchant l’orientation de leur désir et leur talent prendra la majorité du temps, néanmoins des réponses leur seront apportées.

Un constat se dégagera dans cet échange animées majoritairement par les filles, en ceci que la majorité d’entre elles affirmeront la difficulté qu’ils ont à communiquer ou à dialoguer avec leurs parents de sexes masculins. Par conséquent ils sont toujours obligés de subir les dégâts irréparables  qu’elles commettent. A la suggestion d’aborder son père lorsqu’il est en train de manger ou quand il est détendu, une élève demandera  à Monsieur ALIMA s’il s’agit de son père à lui ou à son père à elle ? Mon père est dangereux, il ne nous parle que lorsqu’il faut blâmer ou fouetter dira-t-elle, en laissant paraitre de petite larmes sur ses yeux.

Pour les garçons, ils disent avoir  à faire à des dictateurs, ils n’ont pas droit à la communication car quand ils veulent souvent donner leur point de vue, leurs parents ne veulent même pas savoir si leur perception de choses doit être considérés.

Les échanges à ce niveau susciteront une  présentation brève de la Médiation sociale, à ce niveau, un doigt accusateur sera pointé sur les policiers qui ne tolèrent jamais l’intervention des tiers quand ils agissent même quand on leur propose des solutions amiables.

DIVERS

Les divers quant à eux ont consisté à la formulation de quelques recommandations, entre autres :

Les parents gagneraient à ouvrir des moments de dialogues avec leurs enfants et leurs laisser opérer des choix quant à leurs avenir

Les enfants devaient chercher les bons moments pour engager le dialogue visant à persuader leurs parents quant à la nécessité de communiquer périodiquement.

Les hommes en tenues gagneraient à souvent accepter les dialogues

Les initiateurs du projet ne devraient pas se limiter à la communication avec les enfants mais aussi avec les parents et les hommes en tenues

A la fin des échanges, Monsieur BINAM Tobie, surveillant général a souhaité que ces échanges continuent au troisième trimestre dans d’autres classes.

Cette rencontre s’est soldée par la prise d’un autre rendez-vous pour une meilleure organisation des prochaines rencontres.

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