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Brain Trust for Development and Culture - Page 15

  • BIV'WAY 2ème EDITION

     


    HISTORIQUE

    Passionné par  la qualité de jeu offert par Michael Jordan dans les années 90, King Pierre Robertson et ses  amis organisèrent pour la première fois en 1997 dans une vielle ferme abandonnée  la première édition de Basket-ball sous le nom de SPACE JAM.  L'état de décrépitude de cette vielle ferme contribua à la recherche des moyens pouvant permettre la pérennisation de cet événement qui se faisait  déjà plusieurs admirateurs avides de distraction. C'est ainsi qu'en  2003 après trois éditions le tournoi revint sous le nom de SHOW TIME, mais ce tour là en bordure de route face dispensaire d'ODZA, l'insécurité du public et l'acquisition des lettres de noblesse valurent à cet événement lors de sa troisième édition non seulement un partenariat avec le directeur Général de l'Hôtel Touring Club International (Immeuble Happi), mais également le parrainage du Ministère des Sports et de l'Education Physique. Après plusieurs concertations, plusieurs conseils et cinq éditions dû à un nombre croissant d'activités, BIV'WAY se dit en langue Bantou Bivoué qui signifie « les Jeux » et   qui est à sa deuxième, se tiendra du 25 Juillet au 14 Août 2010 au complexe sportif de l'hôtel Touring Club International est un événement à caractère unique dans la ville de Yaoundé en période de vacances mobilisant élèves, étudiants ; sportifs, et plusieurs hommes de culture autour des activités sportive, éducative et culturelle dans le but d'occuper rationnellement les périodes de vacances des jeunes et de préparer une relève compétente.

     

    INDICATEURS DE DEVELOPPEMENT

    Le dynamisme et le savoir managérial stimulés par le potentiel des jeunes sont les facteurs de couronnement de succès de chaque édition

    1997. 1ère édition de SPACE JAM (dans une vielle ferme abandonnée)

    2003.  aménagement d'un nouvel espace et 1ère édition de SHOW TIME

    2004. 1ère édition de l'élection Miss -  Master

    2005.  signature de partenariat entre le Directeur Général et les jeunes

    1ère édition de séminaire

    2006.  accueil des ministres MBARGA MBOA et CHARLES  SALE

    Le Maire Jeanne OTTOU  Yaoundé 4ème .

    Artiste musiciens : KROTAL, AKSANG GRAVE  FUNKYS

    2007. instauration de 2 catégories disciplines (Basket-ball)

    2008. 1ère édition du tournoi de foot-salle

     

     

    BIV'WAY  2ème édition

    BASKET-BALL

    Partit de 6 équipes seniors en 1997, de 10 équipes seniors en 2003, 2008 a vu la participation de 12 équipes seniors et 8 équipes juniors. 2010 verra la participation de 16 équipes seniors et de 12 équipes juniors

    Le tournoi se déroule en plusieurs phases à savoir  le championnat, les play-off , les demi-finales et la finale

    Les précédentes éditions ont vu le passage de plusieurs lions indomptables (ELONG, BAYANG, BITE ......)

     

    ELECTION MISS - MASTERS

    Basée sur d'autres critères tels que : la culture générale ,la propreté ,le choix des tenues ,'intelligence .....,l'élection Miss vise à confronter plusieurs demoiselles entres elles en vu  de rétention d'une seule en qualité de Miss et de deux dauphines . 2010  verra la participation de 20 demoiselles et de 10 garçons

    FOOT-SALLE

    La première édition a vu la participation de 16 équipes en toutes catégories confondues.

    Cette nouvelle discipline encore moins maîtrisée des camerounais, à cause de la complexité de son règlement a causé plus de difficultés aux acteurs ainsi qu'au comité d'organisation, néanmoins en phase éliminatoire, elle a connu plus d'engouement.

     

    RAP BATTLE

    Il est difficile de s'ennuyer  à BIV'WAY, car entre les rencontres sportives les intermèdes sont toujours meublés de culture en l'occurrence les danses urbaines et les prestations scéniques (Rap).

    La Battle est une discipline qui consiste à rivaliser plusieurs groupes de danseurs entre eux, donnant des sueurs froides  au publique lors des prestations, les duellistes ne lésinent sur aucun moyen d'expression corporelle, mêmes les plus osés dans le seul but d'impressionner et d'en ressortir vainqueurs faisant fi des blessures et  lésions physiques  ou morales qui, pourraient s'en suivre.

     

    SEMINAIRE

    Les jeunes des organisations de jeunesse sont une force dynamique dont les membres peuvent apporter une contribution considérable au développement d'une nation .Mais les difficultés aux quelles se heurtent ces derniers, quand à leur épanouissement et à la promotion de leurs activités (éducatives ,sportive culturelle ,et économique )révèlent l'urgence de créer des interfaces ,des programmes et des projets générateurs de compétences et de revenus et d'emplois .ceci dans le but de renforcer leur capacité de gestion ,d'organisation et de fonctionnement. un séminaire de renforcement de capacités en est la base .

     


     

  • L'ultimatum climatiquel'appel pour la conférence de Copenhague

    L'ultimatum climatique, l'appel pour la conférence de Copenhague ultimatum climatique Monsieur le Président, Au mois de décembre de cette année se tiendra à Copenhague le Sommet de l’ONU sur le climat. Confrontés au péril climatique, les dirigeants du monde entier devront parvenir à surmonter leurs divergences d’intérêts de court terme pour se rassembler autour d’un projet politique mondial fondé sur un constat scientifique objectif et ainsi donner une suite au protocole de Kyoto qui soit à la hauteur des enjeux que nous allons devoir tous ensemble affronter dans les décennies à venir. Le résultat de cette conférence dessinera l’avenir climatique de l’humanité. Or comme le rappelait il y a un an le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon, « nous sommes au bord d’une catastrophe si nous n’agissons pas ». Acteurs reconnus de la protection de l’environnement, des droits humains et de la solidarité internationale, conscients des responsabilités qui sont les nôtres, nous avons décidé pour la première fois de parler d’une seule voix pour vous exprimer publiquement notre préoccupation et vous appeler à agir avec ambition et détermination lors de la Conférence de Copenhague. Au regard de l’ultimatum climatique auquel l’humanité est confrontée aujourd’hui, Monsieur le Président, vous aurez rendez-vous avec l’Histoire en décembre 2009. Le réchauffement du système climatique est sans équivoque. L’activité humaine en est la cause. Ses impacts se font déjà ressentir en différents points du globe, notamment par la multiplication des catastrophes climatiques. Si nous n’agissons pas maintenant, ils seront sans aucun doute encore plus dévastateurs. C’est le constat sans appel de 2 500 scientifiques du monde entier qui ont reçu collectivement le Prix Nobel de la Paix en 2007 pour leurs travaux sur le phénomène des changements climatiques. Depuis, de nouveaux éléments scientifiques montrent, chaque jour, que le climat se dérègle au-delà des prévisions les plus pessimistes, avec des conséquences bien plus précoces que prévues et d’ores et déjà visibles. S’il est encore difficile d’évaluer avec précision l’amplitude des impacts, le danger est en revanche déjà certain. Ecosystèmes ravagés, variabilité climatique extrême, hausse du niveau des océans… : les premières victimes de ces catastrophes en chaîne sont les populations déjà vulnérables en Afrique subsaharienne, en Asie centrale, du Sud Est ou dans de nombreux pays insulaires. La sécurité alimentaire, l’accès à l’eau ou à la terre sont gravement menacés et des centaines de millions de personnes risquent d’être poussées à l’exode, grossissant les rangs de ceux que l’on nomme les « réfugiés climatiques ». Dans un monde de crises, nous craignons que la guerre, l’autoritarisme, les inégalités, la misère et la souffrance humaine prennent encore un peu plus le pas sur la paix, la dignité humaine et la démocratie. L’urgence climatique nous commande donc d’agir à la hauteur des périls qui sont devant nous. Nous maîtrisons déjà la plupart des technologies nécessaires pour relever le défi d’un mode de développement qui intègrerait à sa juste mesure l’impératif climatique. De plus, cette rupture avec un modèle de développement hérité d’un passé révolu recèle des opportunités d’économies, d’emplois et d’innovations considérables. Encore faut-il que nous prenions la décision politique de le faire. Tout d’abord, il faut impérativement parvenir à stopper la croissance des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici à 2015 avant de les faire décroitre. C’est la seule voie pour limiter le réchauffement des températures bien en-dessous de 2°C, seuil au-delà duquel la capacité à s’adapter de nos sociétés et des écosystèmes est menacée. Pour ce faire, Les pays industrialisés, dont la France, doivent s’engager collectivement à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40% d’ici à 2020 par rapport à 1990. Mais cela ne sera pas suffisant. Les pays en développement doivent, eux aussi, mettre en place les politiques industrielles, énergétiques et agricoles qui limiteront la croissance de leurs émissions avant de les réduire, sans compromettre leur légitime aspiration au développement économique et social. L’accord de Copenhague devra permettre à ces pays d’évoluer vers des modèles sobres en carbone. Il devra aussi leur permettre de s’adapter aux conséquences inévitables du changement climatique. Pour nombre d’entre eux, en particulier les plus vulnérables, ces actions ne pourront se faire sans le soutien financier et technique des pays industrialisés. Les besoins d’ici à 2020 sont évalués à plus de 100 milliards d’euros par an. C’est moins de 10% des dépenses militaires mondiales. Responsables de la majorité des émissions de gaz à effet de serre aujourd’hui dans l’atmosphère, munis de capacités d’action plus fortes, les pays industrialisés portent la responsabilité morale, légale et économique de mener le combat contre le dérèglement du climat. Monsieur le Président, vous vous devez de prendre la tête de ce combat qui est sans aucun doute l’enjeu de ce siècle. Notre avenir commun dépendra dans deux cents jours des choix politiques qui seront faits. Serge Orru, WWF-France Pascal Husting, Greenpeace France François Danel, Action contre la Faim Olivier Braunsteffer, Care France Souhayr Belhassen, FIDH Nicolas Hulot, Fondation Nicolas Hulot Anne Bringault, Les amis de la terre Michel Bruguière, Médecins du Monde Luc Lamprière, Oxfam France Agir Ici Sandrine Mathy, Réseau Action Climat Michel Roy, Secours Catholique

  • MINISTERE DE LA JEUNESSE, L’HEURE EST AU BILAN

    INSTITUTIONS  : MINISTERE DE LA JEUNESSE, L’HEURE EST AU BILAN

    Conférence annuelle des services centraux et déconcentrés du ministère de la jeunesse ,les travaux ouvert le 4 septembre dernier au palais des congrès de YAOUNDE a permis aux participants venus de toutes régions du Cameroun de mettre la jeunesse au Centre des préoccupations du ministère.

    Des travaux qui ont réunis les différentes délégations venus des 4 coins du pays avait pour objectif de plancher sur les différentes aspectes des problèmes rencontrés par ce ministère nouvellement créer et certainement en quête de maturité. Ces travaux de deux jours ont permis de passer en revue tous les difficultés rencontrées par le ministère dans sa recherche de performance .Il était question de chercher les voies et les moyens pour encadrer la jeunesse de manière accrue  , de faire une sorte d’auto critique sur des méthodes de travail du MINJEUN et surtout de passer en revue l’ensemble des réalisations par rapport au missions et à la feuille de route adressée au ministère par le premier ministre chef du gouvernement PHILEMON YANG .

    Pour le ministre ADOUM GAROUA, président de séance .Il s’est agit ni plus ni moins de la mise en place du conseil Nationale de la jeunesse ,qui est à sa phase d’opérationnalisation et de passer en revue aussi du problème lié à la gestion des ressources humaines ou la meilleure répartition du personnel dans les coins les plus reculés du pays se pose avec beaucoup d’acuité ,pour preuve ,de nombreuses délégations restent en manque de personnel dans les coins reculés ; Normale, il s’agit de se rapprocher des cibles , de rapprocher l’ administration des administrés devant bénéficier des services du MINJEUN et ce qui n’est donc pas le cas . Les problèmes ont été les mêmes que ce soit dans la région de l’Est ,du Nord Ouest ou encore du NORD dont les plus saillants sont l’absence des moyens roulants , de la réhabilitation des locaux abritant les délégations en passant par le manque de matériels didactiques et de bureaux ,sans oublier l’épineux problèmes de la sécurité dans les différentes délégations régionales et départementales encore très exposées au vol .

    Par ailleurs , la mise en place du conseil national de la jeunesse aura retenue les attentions Une inquietude évoquée par le délégué régional de la jeunesse du centre qui a exprimé sa crainte sur le retard accusé dans le processus de mise en œuvre du conseil national de la jeunesse . S’agissant du conseil nationale de la jeunesse tout semble piétiner ,depuis 2006 que le processus a été engagé dont des fonds gigantesques sont disponibles et un processus soutenu par les bailleurs de fonds ,l’on se demande les raisons d’un telle laxisme . .Jusqu’ici le code électoral est méconnu par les jeunes et les cadres mêmes du ministère de la jeunesse ..En tout état de cause ,le ministre de la jeunesse a réaffirme son engagement à mettre en place ce conseil qui est à sa phase terminal de l’avis du patron du MINJEUN,une descente sur le terrain est donc prévu pour la supervision des élections au niveau communale ,départemental ,régional et national ,une première fois que le ministère accompagne les jeunes dans une organisation qui sera reconnue par les pouvoirs publics ,les partenaires au développement et les pays voisins. A ce niveau de nombreuses organisations de la jeunesse et les leaders d’associations se disent inquiets sur la transparence du processus de mise en place du conseil national de la jeunesse .le Ministre ADOUM GAROUA annoncé sa satisfaction sur l’évolution et la mise sur pied cette fois du service civique de participation au développement , un autre processus qui est sur la bonne voie puisque les textes d’applications sont déjà transmis à la haute hiérarchie

    Fort de tous ce constat, un chapelet de recommandations été dressé, les participants à la conférence ont demandé entre autre , l’accélération du processus de création des organisations de la jeunesse ,de la descente urgente sur le terrain des cadres du MINJEUN sur le terrain pour la sensibilisation des jeunes au conseil national de la jeunesse ,à l’allocation d’une ligne budgétaire pour les organisations de jeunesse et la multiplication des centre s de loisirs .Des doléances que le ministre de la jeunesse s’est dit très attentionné et qui ne resteront pas dans les tiroirs poussiéreux du ministère .Des commissions seront donc constituées pour plancher sur ces questions .

    Les travaux du 3 au 4 septembre 2009 se sont achevés tardivement avec deux lettres de motions mérités, au ministre de la Jeunesse ADOUM GAROUA pour son dévouement à la cause de la jeunesse et au président de la république du Cameroun  son excellence PAUL BIYApour son soutien financier à l’encadrement des jeunes .

    L’on espère que les recommandations de cette conférence annuelle ne seront pas des vains mots et surtout comme la reconnu le Ministre de la jeunesse ADOUM GAROUA , et tout le monde l’aura compris ,les jeunes ne sont pas des problèmes ,mais des solutions au problèmes .L’année 2010 s’annonce donc sous des bonnes auspices au Ministère de la Jeunesse ,le maçon sera jugé au pied du mur.